ANPE (Agence des Nouveaux Perfides Engagés)

[depuis la tour de garde]

Fharlangh entra dans la salle du trône, avança et se prosterna face au trône de Draken. Puis il releva la tête et scruta les environs, attedant de voir ou se trouve le maître des démons.

*Maître, un nouveau venu vous attend. Il souhaite se mettre à votre service*

Il se tourna alors vers Bardanor

"Le maître devrait venir, attendons le ici, mais ne touche à rien!"

Bardanor arriva dans la salle avec une indifférance incroyable.
Il ne se prosterna devant rien du tout, et attendit, sans répondre à Farlangh, que Draken veuille bien faire son aparition.
*Que c'est lent chez eux.....mais non crétin!Je toucherait à rien!Je n'est pas envie de finir embroché ou quoi que ce soit d'autre....*

[Arrive de la salle de torture]

Draken apparu sur son trône et dévisagea le nouveau venu:

"Tiens, tiens, un humain dans ma demeure...cela est extrêmement rare… à par en salle de torture."

Il sourit à cette réflexion.

"Que me vaut l'honneur de cette visite chère inconnu?"

*Sa carrure est impressionnante pour un humain, et ses habit pour le moins étranges. Cet homme m'intéresse!*

Bardanor releva la tête lorsque Draken arriva.
*Bon sang.....ses pouvoirs son énormes....*
Il ne montra aucun signe de surprise, n'étant pas son habitude.
"Je n'ai aucune envie d'aller en salle de torture....mais plutôt l'envie de....'travailler'."
Il désigna Fharlangh du doigt.
"Ce démon m'a amener jusqu'ici pour que je puisse formuler ma requette.Je l'ai fait, à vous d'accepter ou non."

"On montre pas du doigt c'est pas poli! Mias il a l'air tordu maître, alors il sera à sa place ici!"

Fharlangh éclata de rire, satisfait de son humour si particulier.

Draken plissa ses yeux, il n'était pas vraiment heureux de l'attitude de Farlangh et encore moins de celle de l'humain.

*Depuis quand, les hommes ne se courbent plus devant moi ?! *

Une main invisible força le magicien à se prosterner devant Draken. Puis se dernier lui dit, méprisant tout en se levant pour écrasez se misérable de toute sa hauteur.

"Il y a plusieurs choses à respecter en ma présence! La première, étant celle de se courber! Ensuite je vous prierez de me dire votre nom, et si vous souhaitez réellement entrer à mon service, vous devez m'appeler Maître"

Il se rassit sur son trône, relâchant son emprise sur le magicien et continua d'un ton amuser:

"Ne me dites pas que vous êtes impressionné par cette simple téléportation, mon cher! Même votre stupide reine sait le faire!

Alors, dites moi quel genre de travail vous intéresser : espions, mercenaire, tortionnaire...oui, même si je m'occupe le plus souvent des aveux...je ne suis pas tout le temps la pour mettre au supplice mais prisonnier...hum...qu'y aurait-il d'autre...? Vous pouvez être aussi les trois à la fois!"

Sans prévenir le seigneur des démons se leva à nouveau, menassent:

"Mais une chose est sur, vous êtes venus dans mon royaume pour vous mettre à mon service...ne me trahissez jamais, et ne pensé pas que, si ce que je vous propose ne vous intéresse pas vous pourrez partir de cette endroit, car cela est faut!

Vous m'appartenez, désormais, plus rien de se que vous pourrez dire, ou faire ne le changera!"

Il se rassit en attendant que le magicien prenne la parole.

Bardanor ne put résister à cette puissance qui le força à s'incliner.
Il se redressa, et reprit d'un ton très calme.
"Mais ce n'est pas le fait de vous voir vous téléporter qui m'impressione, mais plustôt cet aflu de pouvoir qui ce déchaîne lorsque vous êtes là..."
Il s'inclina, et riva ses yeux blancs dans ceux de Draken.
"Mon nom est Bardanor Calmin, je suis un magicien, mais je n'apartiens à personne, je n'ai ni reine, ni roi, ni maître.Mais si je dois vous apeler maître, je le ferais.Pour le métier, sachez que je suis plus doué en matière d'espionnage, et assassinats...étant un magicien, je peut aller ou bon me semble.Ensuite je ne peut trahir personne, car je ne suis avec personne....je vous demande juste une chose, c'est de me laisser libres de mes actes, pour acomplir mon travail."
Il s'inclina une nouvelle fois.

Pendant ce temps, Fharlangh se limait les griffes dans un coin, se demandant en quoi un magicien pourrait être utile...

[Arrive de la salle de torture]

Xzénaïde arriva enfin. Elle avait mit bien plus de temps que Draken a arrivé. Il faut dire aussi qu'elle avait un peu traîner pour réfléchir. (Je vous vois tous venir là! ELLE REFLECHIE quoi que vous en disiez!^^)

Une fois arrivée dans la salle du trône elle aperçu les deux individus dont un pour lequel elle s'en serait passer. Mais bon... Se rappelant de ce que venait de lui dire Draken elle le regarda de haut.

Puis elle s'inclina respectueusement devant son maître plus pour monter à Fharlangh et au visiteur sa dévotion envers Draken (Non elle n'est pas lèche-botte!)

Xzénaïde s'avança vers Fharlangh et dit tout fort.

"Tu as l'air de t'ennuyer
Notre maître est-il aussi inintéressant?
Je crois que le respect
Est une chose que tu ne connais pas vraiment

De plus pourquoi te les limer?
C'est vraiment n'importe quoi
Tu devrais plutôt te les aiguiser
Au moins tu serais utile pour une fois

Plus elles seront aiguisées
Et plus elles seront redoutables
Alors que de les limer
Fais de toi un incapable"

Elle se tourna vers son maître se disant qu'il n'allait peut-être pas apprécier ce qu'elle venait de dire.

"Sachez que je ne me dispute pas
Je lui fais juste remarquer que ce qu'il fait est inutile
J'ai décidé que pour cette fois
J'arrêterais ce jeu futile"

Elle regarda Bardanor.

"Vous êtes plutôt courageux
De vous aventurer ici
Même si de ce lieu
Vous ne sortirez pas en vie

Notre maître est vraiment d'une grande bonté
Au cas où vous ne le sauriez pas
Il va sûrement vous offrir l'hospitalité
Qui pourrait vous conduire au trépas

Toute personne voulant se joindre à notre demeure
L'est pour l'éternité
Tu deviens mon frère en cette heure
Bienvenue et tâche de ne pas te faire tuer"

Elle alla s'installer sur le siège se trouvant à la droite de Draken... Celui du commandant. (Na! Ca t'apprendra petit commandant de pacotille!!! C'est moi qui devrais être ici et pas toi! NAAAAA!!!^^)

Fharlangh s'arrêta et considéra sa lime d'un air absent.

*Quand comprendras tu qu'il vaut mieux se faire discret quand le boss parle affaires... Tout dans les muscles, pauvre Xzénaide... Pis le mago à l'air bourrin, m'est avis qu'il pourrait faire plus de dégât que toi, même sans griffes.*

Il regarda Xzénaide s'asseoir dans le fauteuil

* Tss... le chef va pas être content quand il reviendra...*

[Arrive de la terre des esprits]

Xzéhandras arriva devant la porte de la salle du trône. Elle ouvrit celle-ci, enfin... Les deux battants pour être précis, un sourire rayonnant sur les lèvres.

"Bonjour mon maître! Je viens pour savoir si une torture est à faire!"

Elle s'arrêta face à Draken, déploya ses ailes et commença à brasser l'air pour arriver à la hauteur de celui-ci.

Fharlangh posa sa lime, et considéra Xzéhandras

*bin v'la aut'chose. M'est avis qu'le chef devrais pas tarder*

Bardanor attendait patiament que Draken réponde.
Il se tenait droit, et ne détourna pas la tête quand Xzénaïde lui adressa.
*Pffff....elle n'a vraiment aucune intelligence elle...encore moins que l'autre fou qui se transforme*(^^)
Il commençais à s'impatienter, lorsque Xzéhandras entra.
Il tourna ses yeux blancs vers elle, et l'observa intenssément, avant de se retourner vers Draken.
*Je commence à comprendre pourquoi cette guerre est dans l'impasse....si tout les soldats démons sont comme elle.......comme les autres races dailleurs.*

Fharlangh sentit un léger gargouillement lui chatouiller les entrailles, il décida de laisser les chefs palabrer et d'aller se fairte un petit en cas à la cuisine

[direction: la salle à manger!]

Draken était parti dans ses pensées. Il ne savait pas si oui ou non il devait offrir un poste à un humain. Il l'avait sondé, mais il n’accordait pas si facilement sa confiance.

Lorsqu'il sorti de sa rêverie, il fut contrarié de voir Xzéhandras, qu'il n'avait pas vu rentrer, à sa hauteur, et non prosterné à ses pied., ainsi que Xzénaïde assise à la place d'Adéas.

Au moment où le seigneur des démons remarqua que Farlangh était parti sans lui demander sa permission, sa rage éclata.

La lave qui parcourait la sale du trône jailli des fissures en formant des murs quand il se leva. Ses yeux rouge flamboyaient de rage, et ses mains, qui s'étaient refermé en poing, étaient en feu. Ne faisant plus attention au magicien, il s'avança vers les deux démons. Une fois arrivé à leur hauteur, il les plaqua au sol de la même manière qu'il avait fait pour Bardanor.

Il leur dit d’une voix sépulcrale :

"Vous me décevez réellement, je ne peux tolérer un tel manque de respect! Xzéhandras, tu parts de la forteresse pour former une alliance avec les sorciers, et tu voudrais que je t'accueille à bras ouvert?! Et toi Xzénaïde, tu me croies assez stupide pour penser que je ne vois pas claire dans ton jeu?! Tu n’es même pas capable de retenir les leçons que je te donne! Si tu n’es pas commandant, c'est à cause de ton manque de respect! J'ais trop longtemps fermé les yeux, je voulais vous gouverner dans l'amour et la fraternité, mais je voie que vous ne comprenez rien. Vous voulez de la douleur, alors je vous gouvernerais par la douleur! "

On entendit un bruit d'os qui de brise lorsque ceux des démons se cassèrent sous la pression qu'exercer Draken sur leur corps.

Il continua, un sourire satisfait accroché à ses lèvres.

"J'espère que cela vous fait plaisir... Si c'est la seule façon pour que vous me respectiez, et bien je vous mettrai au supplice tous les jours! J'en ais assez de vous! !"

La pression augmenta encore sur les corps suppliciés des deux démons. Puis, sans prévenir il la relâcha, d'un coup.

"Je suis votre maître, je vous est créés....je peu vous détruire de la même façon."

Pour prouver ses dires, la peau des soldats se déchira, laissant apparaître ça et là de minces filets de sang qui s'élargissaient au fur et à mesure.

Adeas entra dans la salle du trône à ce moment là, incliné par avance, furieux comme soucieux. Hélas, ce qu'il vit à son entrée le glaça plus efficacement qu'une douche à -30 degrés. Draken n'était pas dans son bon jour du tout, et il allait casquer pour avoir suivit Xzehandras sans en demander l'accord au maître démoniaque.

"Maître..." risqua-t-il prudement. "Pardonnez mon initiative, la fuite de Xzehandras m'a fait perdre le fil de mes idées, je n'aurais pas du la suivre..."

Au point de fureure que venait d'atteindre Draken, il savait très bien qu'il allait devoir essuyer une lourde correction.

Xzéhandras était... Au comble de la joie et de l'excitation. Draken, Son Draken, Le Grand Draken, Ô Draken lui faisait mal! Elle avait le souffle coupé, elle avait mal, elle souffrait!

*Draken! Alléluia, tu as compris enfin ce que je voulais! De la violence! Tu me combles! Si tu savais comme j'aime que tu fasses ça!"

Lorsqu'il relâcha tout, on entendit une petite plainte de plaisir sortir de la bouche de Xzéhandras. Puis sa peau se mit à se craqueler. On entendait clairement la peau se déchiré. Un peu comme le bruit d'un plastique mou que l'on étirerait jusqu'à ce qu'il se déchire entre vos mains.
Xzéhandras savait que son alliance ne passerait pas inaperçu auprès de Draken et c'est ce qu'elle voulait. Et elle n'allait pas casser son alliance maintenant. Non... Elle voulait quelque chose de particulier. Draken devait sûrement le savoir. Il voulait qu'elle lui obéisse? Très bien, mais alors, elle devait devenir plus qu'un simple soldat. S'il fallait lui prouver qu'elle était digne de lui, elle le prouverait. Elle était déterminée.
Elle était en pleine jouissance de douleur et ne voyait plus vraiment ce qui se passait autour d'elle.

(Bon ben puisque personne ne poste, je vais le faire, NA!)
Bardanor ne put éviter le torrent de lave que de justesse grâce à sa impressionante rapidité.
Il recula dans un endroit où il pensait être en sécurité, et attendit...regardant avec une indifférence totale les démons se faire torturer.
*Bon ce serait bien que Draken s'occupe un peu de moi...mais moin brutalemnt qu'avec elles...*
Il restait sur ses gardes, près à sauter pour éviter un autre danger.
Ses yeux blancs analysait chaque recoins de la salle, et il sentit l'odeure âpre du soufre sortir des trous des murs.

(Désolée, réponse pas très utile en vue mais j'ai un super gros manque d'inspiration...)

Xzénaïde ne pouvait rien faire contre Draken. Elle se concentra donc pour rentrer dans une sorte d'état de méditation. Ainsi, elle ne ressentait qu'une infime douleur, bien inférieure à ce qu'elle était réellement.

Elle en faisait pas du tout attention à ce qui se trouvait autours d'elle. Tout ce qui comptait c'était de ne pas penser à sa peau qui se craquelait ni à ses os qui se brisaient. Elle n'était pas comme Xzéhandras. Elle éprouvait un plaisir malsain à faire souffrir les autres mais elle n'endurait que très mal sa propre souffrance.

Draken savait cela et évidement il s'en servait. Ce qui était étrange pour la démone c'est qu'il faisait de même avec Xzéhandras qui elle, au fond, n'attendait que ça. En fait, à ce moment précis, il lui faisait plaisir même plus encore. C'était assez inexplicable pour Xzénaïde mais elle ne pouvait rien dire de toute manière. Elle essayait de survivre et attendait que son maître la relâche ou la tue.

Lorsque Adéas eu finit de parler, Draken se retourna et le balança à travers la lave à l'autre bout de la salle.

"Commandant! Mais comment ai-je pu être aussi stupide pour mettre un crétin pareil à se poste ! Tu sait très bien que l'on doit toujours attendre mes ordres pour sortir de la forteresse!"

Le maître des démon eu un sourire lorsqu'il aperçu que Xzénaïde ne soufrai pas normalement
Il lui envoya un cri qui résonna extrêmement fort dans la tête de la démone.

"Xzénaïde, n'essaye pas d'échapper à ma punition! Et je te défends de te poser des question quant à mon comportement! Ici, le maître c'est moi! "

Puis lâchant toute emprise sur Xzéhandras, il beugla à l'adresse d'Adéas :

"Tu aura le droit à ce châtiment si tu me déçoit encore une foi ! Quant à toi, Xzéhandras si il ne te faut que sa pour que tu me respecte, et bien soit, tu y aura le droit tout les jours! Mais pour toi Xzénaïde, ce n'est pas fini !"

Il déchaîna une nouvelle fois sa puissance sur elle.

Adeas était à moitié sonné et la chaleur dont il était pourtant habitué lui semblaità présent plus dure à supporter. Mais la honte surtout le faisait bouillir.

"Pardon, pardon!" souffla-t-il en fermant les yeux, de douleur et de remord. "Jamais je ne recommencerais, jamais. Pardon."

Il se sentait nauséeux. Decidement, si il ne se déplaçait pas à pied son estomac ne tenait jamais le coup. Pas bon à savoir, et surtout pas bon à montrer...

*Crétin, Adeas, crétin que tu es! Je m'en sors à trop bon compte, je suis un imbécile! Je suis tombé dans le piège comme un vulgaire môme! Jamais je ne recommencerait la même erreure.*

[les cuisines]

Fharlangh revenait de son entrevue avec la puissante cuisinière nanti d'un bon casse croûte. Il assista à la chute impressionnante d'Adeas avant de reporter son attention sur Bardanor qui visiblement admirait la salle

"Sympa la déco, hein? Il a du goût le chef.
Et sinon tu sais faire quoi de tes dix doigts?
Tu noteras qu'ici l'option torture est recommandée"

Bardanor tourna la tête vers Fharlangh.
« Tiens, vous revoilà!Je ne peut pas tellement dire que j'aime ça...étant donné que je ne ressent que très rarement des sentiments... »
Il se retourna vers Draken lorsque Fharlangh continua.
« Je ne pense pas que se soit le bon moment pour vous montrer ce que je sais faire...une autre fois peut-être. Si ton roi veut bien m'engager...mais je refuserait d'office un poste de torture...je ne suis pas venu ici pour torturer, mais plus pour trouver quelque chose d'intéressant à faire. »
Bardanor sortit une de ses lames, et commença à se distraire avec…

Fharlangh hocha la tête.

"C'est pas faux.
Mais la torture peux s'avérer très distrayant, ne serai-ce que quand tu es spectateur..."

Il désigna Xzénaïde du moignon qui remplace son bras sous sa forme actuelle

"Par exemple voila un doux spectacle, qui me réchauffe le coeur.
J'espère que tu resteras, quelqu'un qui joue avec une lame à forcément un bon fond. Ou des doigts de rechange..."

Bardanor ne dit rien.
Il se contenta tout d’abord de continuer à regarder la scène, puis se retourna vers Fharlangh.
"Ce dont vous me parler est très loin derrière moi. Je ne ressens plus aucun sentiments, alors je ne pourrais pas éprouver du plaisir à torturer quelqu'un, mais je ne pourrais pas non plus être dégoûté..."
Il fixa ses yeux dans ceux de Fharlangh.
"C'est pour cela qu'il m'est si facile de faire ce que je fais...mais en acceptant de perdre mes sentiments pour devenir aussi doué que je le suis maintenant, je ne me considère plus comme un humain à par entière...car le propre de l'Humanité, c'est de ressentir non? Et je pense que c'est pareil pour les Démons...bien que ce ne soit moins flagrant."